mardi 20 décembre 2011

Text Tragique (pour M. Joel)

Prologue
C’est drôle comment longtemps un avion peut rester dans les aires avec seulement une aile, non? Ca fait déjà 3 minutes que le pilot réalisa que son appareil volant était perdu à un destin fatal, et qu’il s’est sauvé. Déjà 3 minutes que moitié de l’avion s’est fait dévorer par des flammes sauvages. Déjà 3 minutes que ce gros homme poilu, recouvert de chaine d’or et un costume spandex ‘Elvis’, hurla à une figure caché dans les ombres. L’avion se jette dans les airs, et cet idiot a encore le temps de crier toutes les jurons connus dans l’histoire de l’homme.
‘Croit tu que j’ai peur, hein? Ça fait aucune différence qu’est-ce-que tu me fais, je ne regretterai rien! Tu m’entends? Rien!’
Est-ce qu’il est bête cet homme? Ou est-ce-que c’est la persévérance qui le dirige? Son jet privé ce hurle vers la forêt Amazon seulement quelque millier de pieds sous son gros nez rouge, toute sa fortune brûle en des minuscules cendres, ses articles si dispendieux se fracasse contre les murs, et la seule chose qu’il peut faire c’est de crier à un coin. Moi personnellement, je ne sais rien. Je suis qu’un simple narrateur. La seule chose que je connais concrètement c’est qu’après l’immense explosion causé par l’impact de 3000 livre de métal contre la terre dur, la seule chose que les investigateurs ont trouvé c’est les ruines d’un petit avion et une bague de diamant la grosseur d’une cerise. Aucune trace du gros idiot, et surtout, aucun trace d’une ‘figure caché dans les ombres’…

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Maintenant pour un changement de scénario. On va quitter les multitudes de couleurs qui parviennent des fleurs exotiques, et les cris d’animaux rempli de joie dans la nature, pour les bruits agaçant des automobiles et les lumières parvenant des appartements. Ceci est où commence la vrai histoire - dans la ville immense de Toronto.
‘J’ai bien aimé ce restaurant. Toi?’, demande Claire, une jeune travailleuse sociale. Elle est petite pour une adulte et a les cheveux blond coupé aux épaules. Il y a des stries brunes dedans aussi. Ses yeux sont gris comme une tempête féroce.
‘Moi, pas vraiment. Mon steak n’était pas assez cuit au centre. En plus, ç coutais une fortune. Manger là c’est gaspiller de l’argent!’, répond Tom, son fiancé. Il a la taille d’un adulte de son âge, qui veut dire beaucoup plus que Claire. Ses cheveux sont d’un brun très foncé, et ils tombent sur ses yeux. Ils viennent tout juste de sortir du petit restaurent sur le coin proche de chez eux.
‘Qu’es’ que tu veux dire c’est gaspiller de l’argent? La nourriture est bonne et ils nous donnent des grosses  portions!’
‘Ont n’a pas assez d’argent pour sortir chaque soir et manger à des places comme ça!’, Tom crie.
Claire a un air inconfortable et essaye de changer le sujet.
‘Oh! J’ai oublié, mais on n’a plus de lait. Est-ce-que tu peux aller en chercher?’, demande Claire.
‘J’ai besoin?’ Claire lui donne un regard boudeur.
‘D’accord, d’accord, je vais en acheter.’ Sur le bout de ces orteils, Claire lui donne un petit baisé sur la joue, et part pour leur appartement.
Même en marchant presque de reculons, ça ne prend  pas beaucoup de temps à Tom de se rendre au dépanneur. Mais techniquement, il n’a jamais réussi à mettre pied à sa destination finale, car devant lui, un immense sourire sur sa figure, était un vieux vagabond assit en avant du 7-11. Dans ses mains, un billet de loterie. Tom comprenait la situation comme si une brique venait tout juste de lui écraser les pieds. Ce vieux vient de gagner. L’homme lève sa tête calmement, et regarde Tom dans les yeux. Même si c’est physiquement impossible pour les lèvres de toucher les oreilles, ce vieux homme a trouvé une façon.
‘Je crois… Je crois que…’
‘Donne!’ Tom ne pouvait pas comprendre qu’est-ce-qui  là prit. C’est comme une force, une longtemps passée, enterrée par les lois de société, vient tout juste de surgir de les endroits les plus profond de son corps. Sa main étendu, il répète la consigne.
‘Donne!  Je ne demande pas encore.’ Le visage du vieux change d’une joie remarquable à de la confusion, et après finalement en comprenant la situation, la douleur. Le vieux se lève tranquillement, prêt pour une confrontation.
‘Mais…mais…’
Sans même penser, Tom traverse la distance entre eux en une fraction de seconde, met une main sur le billet, et lève l’autre en ‘position d’attaque’. La figure de pauvre vagabond c’est transformé en choc et en peur à la situation. Sans lui donner du temps pour parler, Tom le frappe droit entre les yeux. L’homme tombe au pavé, souple comme un oreiller. Tom prend le billet des doigts de l’homme et commence à partir dans la direction opposée.
‘S’il vous plaît…non.’
Pour une raison inexplicable, les mots du vieux déchirent à ses oreilles comme si quelqu’un grattait à un tableau avec une fourche rouillée. Il cour, et c’est seulement avant de tourner le coin qu’il aperçoit un homme, habillé totalement en noir, manteau long, pantalon, chapeau et lunettes, debout au-dessus de vagabond sur le pavé. Tom fige. ‘Est-ce que cette homme a vu ce qui viens de se passé? Et il vient d’où?’  L’homme reste immobile, les mains dans ces poches, sous une lumière de rue, en train d’examiner le vieux. Tom essaye d’étudier sa figure, mais peut pas. C’est presque comme où son visage devrait être, est seulement un espace vide, rempli de noir et d’ombre. Seule les lunettes sont un indice qu’il existe vraiment un corps sous le manteau. Sans signes, l’homme lève sa tête en direction immédiate de Tom; il peut sentir un fort souffle de vent le frapper, venant directement de l’endroit de l’homme mystérieux. Un frisson glacial cour sur sa colonne vertébrale quand il réalise qu’une paires de yeux le regarde directement, caché derrière les lunettes de soleil. Il court. Il court le plus vite possible. Il court plus vite qu’il croyait possible pour ses jambes. Il veut disparaitre, car il sait que cet homme l’a vu. Il n’a pas besoin de se tourner pour voir si l’homme le poursuit, car chaque fois qu’il ferme ses yeux, il voit l’image claire de cette personne debout au-dessus du vagabond, ses yeux en train de prendre des images mentales de la figure d’un criminel. La figure de Tom.
Tom court jusqu’à l’appartement qu’il  partage avec Claire, et s’arrête en dehors de la porte pour ce calmer. Il a eu peur, mais en même temps, il est excité – il est millionnaire. ‘Est-ce-que je devrais dire à Claire ce qui s’est passé?  Non, elle va poser trop de questions. ‘  Il rentre dans la porte et Claire le regarde d`un aire curieux.
‘Pourquoi est-tu essoufflé? As-tu vu un fantôme ou quelque chose? Où est le lait? ‘  Tom ne dit rien, passe dans le corridor, et ferme la porte derrière lui.
Dans les semaines qui suivent, Tom dépense de plus en plus d`argent et se concentre pour éviter de dire à Claire la vérité. Il conte une histoire après une autre, chaque une plus extraordinaire que celle d`avant. Il s’achète du linge nouveau, des bijoux, une maison, une Ferrari et sort avec ses amis à des clubs presque tous les soirs. C`est comme si Tom, essaie d`oublier sa rencontre avec l`étranger. Avec  les noces qui approches, Tom commence à douter son amour pour Claire – il ne veut pas s`expliquer ou même partager sa fortune. Il réalise combien de belles femmes prennent intérêt en lui depuis qu`il a de l`argent.
Le matin des noces, Tom se rend à l’église en retard et en sortant de l’auto, il fige en entendant les cloches. La main sur la poigner, il décide qu’une vie de couple n’est plus pour lui. Avec vitesse, il quitte le stationnement – essayant de mettre le plus de distance possible entre sa vielle vie et sa nouvel comme homme libre. En passant de toute vitesse dans une petite ruelle, le temps ralentie et une plume noire passe du long de sa figure, attirant son attention. Seulement quelque pied de l`auto, l`homme mystérieux est debout avec ses mains dans les poches, mais il y a quelque chose de différent – Tom aperçoit une aile plumer noire derrière son épaule gauche. Ils se fixent des yeux avant que le temps semble reprendre de la vitesse. Quand Tom regarde dans son miroir, l`homme est partie.
La panique grippe tout son corps comme un anaconda est entrain de presser l’oxygène de ses poumons. La sueur tombe de sa figure à toute allure.
‘De la protection. J’ai besoin de la protection.’
Il met les coordonnées de l’armurerie la plus proche dans son GPS et met son pied sur le gaz. Il est chanceux, car sa prend seulement quelque minutes pour se rendre dans le stationnement de la petite boutique. Il rentre dans le magasin,  prend le plus grand pistolet qu’il peut trouver, et l’amène au caissier.
‘Combien?’ L’homme est une peut surprit par la simplicité de Tom.
‘Désolé, mais ce n’est pas aussi facile que ça. T’as besoin d’une licence, qui peut prendre quelque mois pour crée, et la formation pour la sécurité, et…’ Tom ne laisse même pas l’homme terminer sa phrase avant sortir son chéquier, écrire un chèque pour 75,000$ et le mettre sur la table.
‘J’ai pas le temps pour toutes ces bêtises. Prend ça et ferme-la.’ Il se penche sur le comptoir et prend un clip qu’il croit rentre dans le fusil et part.
Prochaine destination, ‘Union Station’. Quand tu es millionnaire, tu peux faire beaucoup de chose que d’autres personnes peuvent seulement imaginer, comme réserver toute un train pour Vancouver en écrivant assez de ’0 ’ sur un morceau de papier. Tom a réalisé ce scénario exact, assez facilement. Il pouvait seulement acheter des billets comme un individu typique, mais la peur et la paranoïa le grip trop fort. Il commence à croire que tout le monde peut être ce…. Monstre, qui le suit depuis l’incident avec le vagabond. Il borde le train, se mets à la dernière chambre comme moyen pathétique de protection, et regarde tous les enfants qui pleurent et les adultes fâché qui le dévisage pour avoir volé leurs vacances.
Il est dans le train quelques heures quand tout se reprend. Sans préavis, une petite plume noire apparaît dans les aires et tombe gracieusement sur son genou.
‘Non, NON!’, Tom crie. Chambre après chambre, il cour dans une seule direction, même s`il est dans un train en mouvement, pour échapper le destin qu’il imagine possible. Il sort le fusil, sa moyenne de protection la plus bonne, et souhaite que tout qui se passe est seulement un cauchemar qu’il peut oublier quand il se lève. Il n’a plus de souffle quand il ouvre la porte de la dernière chambre sur le train, et c’est à ce moment-là, ou il voit la personne qui le hante ces dernières semaines.
Debout dans le milieu de la chambre était une figure, totalement recouverte d’un voile noire, qui le regardait avec des yeux caché par les ombres. C’était un visuel incroyable mais aussi terrifiant. Le voile recouvrait l’homme de la tête aux pieds, en plus d’une bonne partie du plancher. Un capot couvrait sa tête, et cachait son visage avec un mur de noirceur même si la chambre était bien éclairée. C’était plus que la toile de son manteau surnaturel qui grippe l’attention. La meilleure façon de la décrire c’est de dire qu’elle est faite de flammes vivantes. La robe bouge continuellement, de petites flammes mauve/bleu dansent dans le tissue, avant de se détacher et de disparaitre dans les aires. Une grosse corde est attachée à sa hanche, comme celle que tu retrouverais sur un navire de pirates. En regardant, Tom peut voir que c’est extrêmement vieux, même pas assez durable pour supporter quelque livre. Attaché à la corde est un ancien sablier avec seulement quelque graine qui reste sur un bord. Son bras droit garde un long scythe comme ceux que les fermiers utilisent, la lame est un peu rouillée avec des coches. Sur son côté, se trouve une immense aile fait de plumage noir comme la nuit. Tom se souvient d’un film qu’il avait vu avec un individu avec seulement une aile. À la fin, il a dit qu’il était un ange qui avait tombé des grâces de Dieu…
‘J’ai …je n’ai pas peur de toi…’ Tom dit en terminant la phrase avec plus de courage qu’au début. L’homme relâche un petit rigole, un `hmph`, comme s’il avait déjà entendu cette blague plusieurs fois.
‘Tu penses que je blague’,  Tom crie cette fois avec férocité. Il lève le fusil directement à l’homme et relâche tout le clip. Douze balles remplissent la chambre d’un son incroyable pour quelque secondes. Mais l’homme ne bouge même pas. C’est comme si les balles ont seulement disparue dans son voile. Tom regarde son fusil, maintenant inutile, avec un air stupéfait. L’homme regarde lentement le sablier où la dernière graine vient tout juste de tombé avant de fixé ses yeux sur Tom. Tout commence à ralentir encore, comme quand il a aperçu l’homme dans la ruelle. Cette fois, Tom sent que la gravité exerce plus de pression sur ses poumons, il a de la difficulté à respirer. Après quelque seconde, la vitesse normale se reprend, et il peut sentir l’air retourner dans son corps. Comme si il y avait un manque d’énergie, Tom tombe à ces genoux. Immédiatement, toute la cabine commence à brasser violemment. Tom, remplie de terreur, doit se tenir contre un mur pour ne pas se faire lancer dans les aires, ça bouge tellement qu’il ne peut plus se concentrer car tout est en motion. Des larmes montent à ses yeux qui lui bloquent la seule vision qu’il lui restait. Il entend un gros ‘clank’ comme si deux grosses barres de métal se frappaient. Et après, tout arrête. Il a la sensation de voler – il regarde dehors et la scène est sur le cote : les arbres, les plantes, les rochers. Tout bouge tellement vite. Ça ne prend pas beaucoup de temps à réaliser que la montagne ne peut pas être sur son côté, mais le train peut l’être. Il ne vole pas… il tombe. Le train s’est déroulé sur un pont et tombe vers le sol. Il regarde vers l’homme mystérieux mais il a disparue. Où il était debout, se trouve un billet de loterie avec une petite figure souriante dessiné sur le devant en encre noire…

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Épilogue
‘Merci, merci. J’aimerais remercier ma famille pour m’avoir donné une enfance spectaculaire, et mes amis, pour m’avoir encouragé. Avec seulement une dose de ce médicament, le METACER9, le cancer sera une chose du passé. Merci encore’.
C’est un homme habillé en tuxedo qui dit ces mots avec un immense sourire sur les lèvres. Il est debout sur une estrade avec plusieurs lumières sur lui, dans une salle remplie de personnes, eux aussi garnies de vêtements dispendieux. Un annonceur rentre sur l’estrade avec un trophée d’or dans les mains, il le présente à l’homme et dit : ‘Pour votre découverte du premier remède  garantie contre le cancer – le prix Nobel’.
Toute la salle éclate en applaudissement quand un troisième homme surgit de la foule en criant de rage. Il commence à monter les escaliers de l’estrade quand les gardes de sécurité l`arrête.
‘Menteur – tu n’as rien découvert! C’était moi! C’est mon invention! Je vais avoir ton coup pour ça! Menteur!’ Il crie tellement fort que sa figure devient rouge, ses veines sont visible sous sa peau et il crache à chaque syllabe. Les gardes doivent utiliser toutes leurs forces pour combattre son adrénaline et le traine en dehors de la salle.
Le premier homme prend le micro d’une aire épeurée et il commence à sué. ‘Umm…je…vous, vous devez excuser mon partenaire. J’ai entendu que toute sa famille était dans un accident et je crois qu’il est en choque…’
La foule, silencieuse et bouche bée à la scène qui vient de se passer, recommence à applaudir. L`homme reprend une aire de calme avec un gros sourire, sachant qu’il vient d’éviter une situation très difficile. Il regard au fond de la salle et contre le mur près de la sortie, un homme habiller d’un manteau et chapeau noir l’observe d’une aire calme. L’étranger se tourne et sort lentement de la porte, une petite plume noire tombant du fond de son manteau…

mardi 4 octobre 2011

Tache d'écriture du text descriptif 1

La boulette
Une calme soirée, dans une petite maison, entourée par les rues éclairées de la gigantesque ville de Toronto, une scène intéressant se passe dans la cuisine de nos protagonistes. Une toute petite fillette, a pêne 5 ans, se dispute avec sa mère, comme si elle était le chef de la maison, sur le sujet du montant d’épices dans sa nourriture. Son grand frère assis calmement au pied de la table les regarde d’un air de sagesses  et, en même temps, de moquerie. L’événement se passe comme tous les autres temps, mais cette fois, il y a deux aspects très différents. Le courage de la fille, et la stupidité de la mère.

Son assiette, comblée de pattes, sauce à spaghetti et boulettes à peine touchées, la petite s’obstine, mais avec aucun succès. Elle a seulement une décision à faire.  Manger le repas que sa mère a fait cuire, que la fille dit est beaucoup trop épicé, et partir  jouer avec ses belles petites Barbie et licornes roses, ou s’échapper sans manger sa nourriture, mais avoir besoin d’aller se coucher immédiatement, sans avoir même la chance de se plaire avant sa rencontre avec le marchant des sables. Mais cette petite demoiselle, tellement  mignonne à ce jeune âge, à une autre idée en tète. Quiconque rationnelle aurais jamais eu une notion aussi immature et choquante. Comme dans les filmes d’horreurs, quand la belle blonde ce fait massacrer par le meurtrier, la scène à la table se passe en temps ralenti.  La fille rentre sa fourchette en plastique mauve dans une des boulettes de viande, la lève au niveau de ses yeux pour bien viser, et la jette en direction de sa mère.  La boulette vole à travers des aires, des petites gouttelettes de sauce à spaghetti rouge tombant sur le couvert de table blanche, le tachant, avant finalement d’arriver à sa destination. La blouse de sa mère.  Mais au lieu de chicaner l’enfant pour agir avec un tel manque de respect,  la mère, fou dans la tète quelle doit être, commence à rire.

Le grand frère, bouche-bé, avoir vu une telle scène, ne peut guère y comprendre la raison donc laquelle sa petite sœur peut avoir fait une telle chose et pas être en trouble énorme.  Il se demande pourquoi même essayez  de faire manger l’enfant si quand elle refuse avec une telle action,  ont ne se méfit pas et on rit. Il regarde, avec sa mâchoire sur la table, sa petite sœur descend de sa chaise et partir. Elle trottine vers le salon, un énorme sourire sur sa figure, fière  de sa victoire.


Keean Antonio Nembhard